La troisième Commission mixte Gabon – Guinée Equatoriale, axée sur la sécurité transfrontalière entre les deux pays s’est ouverte ce jeudi 26 avril à Libreville en présence du ministre gabonais de l’Intérieur, Jean-François Ndongou, en vue de renforcer la coopération entre ces eux pays dans ce domaine.
Accords protection des frontières Gabon
Cette séance de travail de Libreville, qui s’étendra jusqu’à vendredi 27 avril,  intervient après celle qui s’est tenue  du 13 au 16 juin 2011 dans la ville équato-guinéenne de Mongomo.
La réunion de Libreville donne l’occasion aux experts des deux pays d’examiner les points devant consolider leur coopération dans la sécurité transfrontalière, mais aussi leur coopération bilatérale globale. Il s’agira donc de  «traduire dans les faits la volonté maintes fois exprimée par les deux chefs d’États, Ali Bongo Ondimba et Teodoro Obiang Nguema, de maintenir et de préserver leurs deux pays dans un climat de fraternité et de sécurité».
Au final, ces assises pourraient aboutir à la création d’une commission permanente de sécurité ayant pour objectif de résoudre les problèmes liés à la circulation des personnes et des biens, au crime organisé et à la délinquance aux frontières. Rappelons qu’en mars dernier, une telle commission s’est également tenue à Libreville, avec la partie camerounaise, le Gabon, le Cameroun et la Guinée Equatoriale étant trois pays qui partagent des frontières communes

 
GR
 

0 Commentaires

  1. ekotto mouity jean darrel dit :

    dans ce ordre d’idée que pensent-ils sur la question intrangigeante de l’itégration des peuples de la sous region. les etats ne veulent pas cede à la libre circulation des populations sous un motif d’invasion des autre peuple cest pas toujours vraije pense et il faut tout faire dans ce sens pour que vienne enfin ce reve de voir la sous region ne plus impose aux resortissant la demande des passe port. ‘est vrai qu’il faut mettre fin a la delinquence transfrontalière mais il y a des solution pour cela mettre sur pied des politique de surveilance frontalière et une structure apte a y veiller. sachons que seul un etat ne peut se developper dans ce grand processus de mondialisation

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