Le ministre de la Santé a lancé, le 21 avril, une opération de désinfection au sein du Centre hospitalier universitaire de Libreville (Chul). Une initiative visant à éviter la propagation du Coronavirus au sein de cet établissement sanitaire.

Le ministre de la Santé a lancé, le 21 avril 2020, une campagne de désinfection au sein du Chul. © Facebook

 

Afin de limiter la propagation du Coronavirus en milieu hospitalier, le ministre de la Santé a lancé, le 21 avril, une campagne de désinfection au sein du Centre hospitalier universitaire de Libreville (Chul).

«L’hôpital étant un milieu où l’on retrouve des infections nosocomiales, il est donc nécessaire d’effectuer la désinfection, la désinsectisation et la dératisation afin d’éliminer les différents vecteurs de microbes et leurs sites de pontes», a indiqué le ministre de la Santé. «L’objectif de cette opération, c’est d’éliminer les vecteurs extérieurs, ainsi que leurs sites de pontes», a expliqué Max Limoukou sur Gabon 1re.

L’opération a été confiée à la Compagnie gabonaise d’environnement et propreté (CGEP), spécialisée dans le nettoyage industriel et basée à Libreville. L’initiative s’ajoute aux efforts déjà entrepris par la direction de l’hôpital public, qui va notamment recourir à un prestataire extérieur pour le bionettoyage des salles d’hospitalisation.

«Le Chul a lancé une vaste opération antivectorielle», a affirmé le directeur général de l’établissement sanitaire. «Donc, le soutien du ministère ne peut être que la bienvenue et nous l’en remercions», a souligné Marie-Thérèse Vane. Le Chul est l’un de centres de traitement et d’isolement des patients atteints du Covid-19, avec l’Hôpital d’instruction des armées d’Akanda et l’Hôpital d’instruction des armées Omar Bongo Ondimba.

 
GR
 

1 Commentaire

  1. messowomekewo dit :

    Ce monsieur donne l’impression de ne pas savoir ce qu’on attend de lui comme premier responsable de la santé, comme ses prédécesseurs il se livre en spectacle. Au lieu de s’ entourer d’une équipe d’hommes et femmes capables de réfléchir et trouver des solutions aux problèmes qui minent le secteur. Problème de formation, on pourrait par exemple signer des conventions avec des pays sérieux comme Cuba pour la formation de notre élite médicale.La maintenance de nos équipements est sujet de préoccupation l’Etat à cet effet pourrait recruter des jeunes bacheliers et les en voyer se former dans des pays d’où nous importeront désormais nos appareils biomédicaux. La gestion des hôpitaux est chaotique, regardez le bon vieux CHL c’est la désolation totale, sa DG actuelle est tout simplement inapte pour le poste. Pour Max Limoukou tous ces aspects devraient constituer des sujets de grande préoccupation mais il préfère se livrer « aux jeux » comme un gamin, c’est vraiment pathétique.

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