À la suite de la récente introduction de plus de 600 bénéficiaires sur le fichier de l’ANBG, le nombre de boursiers gabonais au Sénégal est désormais de plus de 1 000. Un record sur le continent africain.

Le nombre de boursiers gabonais au Sénégal et au Cameroun a augmenté de janvier à mars 2024. © GabonReview

 

C’était une instruction du président de la Transition lors de son voyage à Dakar, en janvier dernier. Le nombre de boursiers gabonais au Sénégal vient de connaître une augmentation considérable. De 550, il y a deux mois, ce nombre a été porté à 1 015, soit 465 bénéficiaires en plus dans les fichiers de l’Agence nationale des bourses du Gabon (ANBG).

Ces bourses ont été octroyées après l’examen de 645 dossiers complets sur les 1 044 dossiers de demande transmis à l’agence. Il a fallu, pour cela, réunir en session extraordinaire la Commission technique de la structure qui informe avoir également examiné, du 12 au 23 mars dernier, 38 dossiers de demande de bourse pour ne valider que 35 au profit des étudiants gabonais inscrits à l’École nationale d’administration et de magistrature (ENAM) du Cameroun.

À l’ANBG, on précise que ces nouvelles bourses sont octroyées pour le compte de l’année académique 2023-2024. Une nouvelle fois, conformément aux instructions du patron du Comité pour la transition et la restauration des institutions (CTRI).

 
GR
 

3 Commentaires

  1. La plupart des écoles privées au Sénégal surtout dans les domaines techniques tels que les mines et génie civil ne forment pas bien. Au projet Kinguélé aval, nous avons mis plusieurs diplômés issues des écoles privées sénégalaises à l’essai, une dizaine, personne n’a été maintenue au bout de trois mois. Parents attention, Ecole Polytechnique de Masuku et Ecole de Mines de Moanda sont largement au-dessus de ces écoles privées. L’Etat n’aide pas les parents en octroyant ces bourses car la plupart seront des chômeurs de longues durées.

    • Zerty lopilox dit :

      C’est pas ce que vous dites là. Pleins d’écoles manioc au Sénégal avec des étudiants diplômés au niveau plus que douteux. Tout ça pzrceque les parents veulent raconter partout que leur enfant est à l’étranger.

  2. Observteur + dit :

    Au GABON, nous avons quelques bonnes écoles mais qui ne sont pas valorisées.
    Quand j’étais dans une entreprise commerciale à LBV, j’avais reçu des étudiants en marketing de l’université CHEIK ANTA DIOP.
    Ces derniers n’arrivaient pas à débuter une étude de marché alors qu’ils étaient en master 2.
    Mois issu de l’IST

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