Alors que la COP30 approche, le ministre gabonais de l’Environnement, Mays Mouissi, a rencontré la co-facilitatrice du PFBC pour accélérer la concrétisation des financements verts destinés à protéger les forêts du Bassin du Congo, pilier essentiel de la lutte mondiale contre le changement climatique.

Instantané de la rencontre avec Mays Mouissi. © D.R.

 

En préparation de la COP30, le ministre de l’Environnement, Mays Mouissi, a récemment échangé avec le Dr Aurélie Flore Koumba Pambo, co-facilitatrice du Partenariat pour les forêts du Bassin du Congo (PFBC). Au cœur des discussions : l’avancement des initiatives visant à concrétiser près d’un milliard de dollars de financements pour la préservation des forêts du Bassin du Congo.

Concrètement, cette rencontre stratégique a porté sur l’état d’avancement des initiatives du PFBC, en particulier celles liées à la mobilisation de financements pour la préservation des forêts du Bassin du Congo. Selon le ministre, «des promesses d’engagements financiers d’environ 1 milliard de dollars, dont 200 millions annoncés par l’Allemagne et un appui envisagé du Fonds Vert pour le Climat, sont en cours de concrétisation». Ces annonces témoignent d’une dynamique internationale forte en faveur de la protection de ce massif forestier, deuxième poumon vert de la planète après l’Amazonie.

Les discussions ont également porté sur la finalisation de la déclaration politique issue de l’atelier de Libreville. Ce document majeur devrait être officiellement présenté lors du Sommet des Leaders de la COP30, marquant une étape clé dans la coopération régionale pour la conservation et la gestion durable des forêts du Bassin du Congo. Mays Mouissi a souligné que cette rencontre «s’inscrit pleinement dans la dynamique de préparation du Gabon à la COP30 et illustre notre volonté de renforcer le leadership climatique de notre pays au sein du Bassin du Congo et sur la scène internationale».

À travers cette audience, le Gabon réaffirme son engagement à faire du capital naturel un levier central de son développement durable et un pilier de la lutte mondiale contre le changement climatique.

 
GR
 

1 Commentaire

  1. evariste dit :

    Commencez déjà par oublier votre projet de soi disant « cité verte » au Cap qui va détruire des hectares de faune et flore…

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