À l’occasion de la Semaine mondiale de l’entrepreneuriat du 13 au 19 novembre 2023, célébrée dans plus de 180 pays, le Réseau des femmes actives du Gabon s’offre une nouvelle bataille contre les briseurs de rêve qui s’approprient et falsifient la vision de ses membres.

Les «Femmes actives du Gabon» en guerre contre le vol de projets, l’usurpation de compétences…© D.R.

 

Engagé et déterminé à propulser les femmes gabonaises dans le domaine de l’entrepreneuriat et à valoriser les compétences féminines, le Réseau des femmes actives du Gabon (FADG) se dresse désormais contre des personnes ou des initiatives portées par ceux qu’il qualifie de perfides trompeurs, de voleurs de rêves ou de briseurs de vies.

«Ces gens se permettent de briser nos familles, de mettre en péril nos mariages et toutes nos relations amicales et familiales pour nous isoler et marcher sur nos rêves. Ils veulent les piétiner, les réduire à néant, même se les approprier et falsifier notre vision impunément. On vous promet qu’ils ne dormiront plus sur leurs deux oreilles», a déclaré la Porte-parole du réseau FADG, Virgine Nkouele.

L’engagement a été pris à l’occasion de la célébration de la Semaine mondiale de l’entrepreneuriat du 13 au 19 novembre prochain, une occasion permettant de voir l’entrepreneuriat comme une solution pouvant être déployée pour s’attaquer aux enjeux sociaux et environnementaux auxquels fait face la société d’aujourd’hui. Il s’agit pour ces actrices et sa promotrice, Ika Rosira, de lutter de manière acharnée et sans relâche pour que le vol de projets, l’usurpation de compétences, les tentatives d’intimidation, le harcèlement moral et mental qui sont des pratiques courantes dans le milieu de l’entrepreneuriat ne restent plus impunis.

«Nous nous engageons donc à faire de notre mieux, à donner le meilleur de nous pour que le nouveau Gabon que le CTRI nous permet d’entrevoir, alimente nos idées et notre créativité pour sensibiliser le peuple tout entier et les porteurs de projets à ne plus se laisser faire par les perfides trompeurs, les voleurs de rêves et les briseurs de vies», a-t-elle déclaré dans son communiqué, informant par la même occasion, le gouvernement, la présidence de la République, le cabinet de la Première dame, l’ensemble des administrations publiques et privées.

 
GR
 

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