Au terme des quatre premières étapes, Philippe Le Gars, grand reporter à L’Equipe, a été abordé sur cette 10e édition de la Tropicale Amissa Bongo.

© tropicaleamissabongo.com

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Pour Philippe Le Gars, grand reporter à L’Equipe, le «bilan de ce début de Tropicale est l’observation d’un nivellement de niveau entre les équipes européennes qui souffrent de la chaleur et des équipes non européennes comme celles du Maroc, du Rwanda, du Cameroun. Certes le niveau n’est pas encore tout à fait égal, mais la marge est beaucoup plus inférieure que ce que nous avons imaginé au départ

Interrogé sur l’écart de près de 4 mn creusé le 1er jour par le Tunisien Rafaâ Chtioui, le journaliste de L’Equipe indique que «l’écart n’a pas été rattrapé. L’occasion de souligner que jamais la Tropicale n’a autant accordé d’écart à des vainqueurs d’étape : ça se joue toujours à quelques secondes. Et aujourd’hui lorsqu’un coureur prend plus de trois minutes (cf. course du lundi) sur les favoris du tournoi, ça paraît déjà joué. C’est vrai qu’il y a encore d’autres étapes assez difficiles qui pourraient faire vaciller le leader. Mais nous pensons que Rafaâ Chtioui est assez solide et expérimenté pour tenir son rang. D’autant plus qu’il est bien encadré et dispose de capacités de récupération assez exceptionnelles. Franchement, hormis un accident, ce que je ne souhaite nullement, je ne vois pas comment cette dixième édition pourrait échapper à Rafaâ Chtioui.»

 

 
GR
 

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