Yusuf Bongo Ondimba, vraisemblablement le frère Mauricien du président Ali Bongo, a été pris en chasse, le 13 novembre 2012, par des agents de la Police judiciaire qui ont ouvert le feu sur sa Mercedes SL 350 avant de le passer à tabac et d’être eux-mêmes placés en garde à vue avec l’arrivée sur les lieux de Frédéric Bongo.
Albertine Moupacka, 88 ans, a récemment trouvé la mort à la suite d’un lynchage par son fils, François Mabéké Boussougou, 51 ans. Cet acte de marricide s’est produit dans le village de Massima, une bourgade du district d’Etéké, près de Mimongo, le chef-lieu du département de l’Ogoulou (province de la Ngounié).
Alors que le chef de l’État, Ali Bongo Ondimba, avait déjà souligné que l’indiscipline ne saurait être tolérée au sein des forces de l’ordre, en plus du fait que le 7 juillet dernier, Jean François Ndongou, ministre de l’Intérieur, avait enjoint les policiers à l’exemplarité, sans omettre les rappels à l’ordre du commandant en chef de ce corps, le général Léon Mistoul, certaines nouvelles recrues des forces de police nationale font fi de toute observance, imposant leur loi personnelle et violente hors de tout cadre légal.
La deuxième partie de l’affaire de crime rituel, notamment celle concernant le sénateur Gabriel Eyéghé Ekomie, qui a fait grand bruit durant les assises de la Cour criminelle spéciale à Libreville au mois de juin dernier, n’a pas toujours d’épilogue. La commission ad hoc du Sénat qui devait étudier le dossier pour ensuite affirmer ou non la levée de l’immunité parlementaire de cet homme politique du Komo-Kango n’a pas voulu se prononcer ouvertement.
Alors que les techniciens d’Entraco, présents sur place le 23 octobre, annonçaient une semaine au moins de travaux pour refaire la route à Meyang, où un glissement de terrain l’avait fracturée, il a été décidé de remblayer la tranchée en urgence et provisoirement, afin de permettre la reprise du trafic et rompre l’isolement de Libreville.
La circulation routière a été interrompue sur la route nationale n°1, plus précisément à Meyang à 5 km de Ntoum en allant vers Kango. Raison : une buse défectueuse depuis des années a été détruite par la forte pluie tombée dans la nuit du 22 au 23 octobre. Ce qui relance le problème d’une issue unique pour la capitale gabonaise.
Cinq enfants en bas âge d’une même famille ont été les victimes d’un violent incendie qui a ravagé, tôt ce mardi 23 octobre, leur demeure située à Venez-Voir, un quartier sous intégré, un bidonville en somme, du troisième arrondissement de Libreville.
Léon Obame, un activiste Gabonais aux États-Unis, a été reconnu coupable d’agression de l’ambassadeur de son pays à Washington, Michael Moussa Adamou, lors d’une manifestation en décembre 2011 devant l’ambassade. Trois ans de prison ferme pèsent sur lui.
Alors que l’on a célébré 10 octobre dernier dans le monde entier la journée internationale de la Santé mentale sous le thème «la dépression: une crise mondiale» et qu’à cette occasion, Gabonreview s’interrogeait sur ce que le Gabon fait de ses fous, l’un d’eux a brulé une voiture à Oloumi.
Le plus grand espace d’échanges commerciaux du Gabon, le marché Mont-Bouët à Libreville, a été une nouvelle fois consumé par les flammes dans la soirée du 16 octobre 2012. Un drame qui a de facto occasionné la fermeture de ce lieu, pour quarante-huit heures.